Le 22/05/2014
Nous quittons Blitar en ayant grandement apprécié cette ville. Depuis le ferry pour Java, nous n'avons pas croisé un seul touriste ! Il est vrai que ce ne sont pas les villes les plus touristiques que nous avons visité mais quand même ! Comme dit le Petit Futé, beaucoup de touristes en Indonésie mais à Java, ils se noient dans les grandes villes javanaises. Et c'est vrai que les gens n'ont pas l'air de voir beaucoup de touristes car: tout le monde veut sa photo avec nous (cela doit faire la cinquantième photo maintenant) et on a même signé des autographes ce matin (nous avons écrit nos noms sur des cahiers d'écoles d'indonésiennes). Au moins on aura goûté à la célébrité.
La matinée à Blitar débuta avec la visite de le tombe du premier président de l'Indonésie, j'ai nommé Sukarno ! Cela semble être un lieu de pèlerinage assez réputé et il est aisé de se perdre dans le labyrinthe des magasins souvenirs. Toutefois les touristes sont seulement locaux et nos têtes de "blanches" attirent bien l'attention. Ensuite, dans l'attente d'un transport public qui puisse nous amener auxTemples de Penataran, un policier se proposera gentiment d'être notre chauffeur. Le temple est bien entretenu et assez sympa.
Le soir nous allons visiter la maison du président Sukarno (petite précision: toutes nos visites étaient gratuites): simple, remplie de portraits de lui et de ses 5 femmes. À côté des enfants suivent des cours de danse, de chant et de musique en jouant du Gamelan.
La matinée à Blitar débuta avec la visite de le tombe du premier président de l'Indonésie, j'ai nommé Sukarno ! Cela semble être un lieu de pèlerinage assez réputé et il est aisé de se perdre dans le labyrinthe des magasins souvenirs. Toutefois les touristes sont seulement locaux et nos têtes de "blanches" attirent bien l'attention. Ensuite, dans l'attente d'un transport public qui puisse nous amener auxTemples de Penataran, un policier se proposera gentiment d'être notre chauffeur. Le temple est bien entretenu et assez sympa.
Le soir nous allons visiter la maison du président Sukarno (petite précision: toutes nos visites étaient gratuites): simple, remplie de portraits de lui et de ses 5 femmes. À côté des enfants suivent des cours de danse, de chant et de musique en jouant du Gamelan.
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